Anton de Wit propose des services de numérisation 3D, de rétro-ingénierie et de conception mécanique aux Pays-Bas. Il nous donne un aperçu de son travail et du rendement de son scanner 3D SHINING pour le EinScan Pro 2X Plus et le EinScan HX. Si vous souhaitez en savoir plus sur la rentabilité de la numérisation 3D en rétro-ingénierie, ce témoignage est pour vous !

 

  • Nom : de Wit 3D Engineering
  • Taille : Entreprise individuelle
  • Localisation : Schijndel, Pays-Bas
  • Services : Scan 3D, rétro-ingénierie et conception mécanique
  • Besoins :
    • Moderniser ses outils de numérisation 3D
    • Acquérir une solution de scan 3D pour des objets plus grands
  • Solutions : SHINING 3D EinScan HX et EinScan Pro 2X Plus
  • Résultats :
    • Retour sur investissement en moins d’un an pour le EinScan Pro 2X
    • Retour sur investissement en moins de deux ans pour le EinScan HX

 

Introduction

 

Anton de Wit dirige l’entreprise de Wit 3D Engineering aux Pays-Bas. Il est spécialisé dans la conception mécanique (environ 70 % de son activité) et la rétroconception (les 30 % restants). Vers 2013, il a commencé à explorer le potentiel de l’impression 3D comme moyen plus rapide et plus facile de réparer des pièces cassées.

 

C’était un véritable progrès par rapport aux méthodes de fabrication traditionnelles et à leurs délais, mais il fallait encore consacrer beaucoup de temps et d’efforts à la production de modèles 3D de précision. Peu après, Anton a ainsi commencé à s’intéresser à la numérisation 3D et a acheté un scanner DAVID SLS2 d’occasion.

 

Pendant des années, Anton s’est quelque peu débattu avec cette première solution de numérisation 3D, qui manquait de simplicité d’utilisation et présentait des limites.

 

“C’est un bon scanner, mais il n’est pas très facile à utiliser”, a-t-il déclaré. (Un sentiment familier que Joakim, de la société suédoise nioform, a mentionné dans son article sur la numérisation 3D de grandes sculptures en bronze).

 

Au fur et à mesure que son entreprise se développait, il a cherché des moyens plus efficaces pour capturer les données 3D.

 

Le choix des scanners SHINING 3D EinScan

 

Anton a choisi d’améliorer son installation en y ajoutant le SHINING 3D EinScan Pro 2X Plus et un plateau tournant automatique, avec lequel il a numérisé des centaines de pièces au fil des ans.

 

Ce scanner 3D portable à lumière structurée est un choix répandu chez les ingénieurs et les concepteurs. Il s’est avéré être un outil efficace et utile pour les besoins professionnels d’Anton.

 

Cependant, s’il convient parfaitement aux pièces de petite et moyenne taille, il est moins adapté aux objets de plus grande taille. Anton a donc décidé d’acheter un autre scanner 3D de la gamme EinScan pour compléter son arsenal.

 

“Pour les pièces plus grandes, j’ai acheté le scanner HX. Je suis très satisfait des scanners SHINING 3D parce qu’ils sont très faciles à utiliser et qu’ils permettent d’obtenir des résultats professionnels de haute qualité”, ajoute-t-il.

 

Le scanner 3D EinScan HX est en effet plus adapté aux objets de grande taille. La taille d’objet minimum recommandée pour le EinScan est de 30 cm, tandis qu’elle est de 3 cm pour le EinScan 2X Pro Plus. Il offre également une plus grande polyvalence en tant que scanner 3D deux-en-un : une lumière LED structurée pour des numérisations rapides, et la technologie laser bleu pour les détails complexes et les surfaces plus délicates.

 

La boîte à outils d’Anton comprend également un FARO Gage Plus et un MicroScribe, deux bras MMT robotisés portables. Il utilise également un Mantis F6 Smart pour numériser des environnements à plus grande échelle, tels que des convoyeurs industriels.

 

L'installation de scan 3D et de MMT d'Anton.
L’installation de scan 3D et de MMT d’Anton.

 

Rentabilité de la numérisation 3D avec la gamme EinScan

Avec ses deux scanners SHINING 3D, Anton a déjà réalisé de nombreux projets : “J’ai scanné le différentiel complet d’une Bugatti EB110, l’échappement d’une McLaren MP720, et bien d’autres choses encore”.

 

Lorsqu’on lui demande à quoi ressemble la rentabilité de ses scanners SHINING 3D après tous ces projets, Anton exprime qu’il ne peut pas mettre le doigt sur un chiffre exact ou lier son retour sur investissement à une mission en particulier. “Mais, poursuit-il, 30 % de mon activité existe parce que j’ai des scanners 3D et que je sais comment les utiliser.”

 

Scan 3D pot d'échappement McLaren
Le résultat de scan 3D du pot d’échappement d’une McLaren

 

Toutefois, il estime avoir financièrement rentabilisé son EinScan 2X Plus en moins d’un an. Pour le EinScan HX, il estime qu’il lui a fallu entre un an et demi et deux ans. Cela semble être un retour sur investissement raisonnable pour un service représentant un tiers de son activité.

 

Quel logiciel de CAO pour la rétro-ingénierie à partir de scans 3D ?

 

Pour la conception 3D après le processus de numérisation 3D, Anton a commencé par utiliser le module complémentaire Xtract3D pour SolidWorks. Il estime qu’il s’agit d’une bonne option de rétroconception basique à un prix abordable.

 

Lorsque ses projets sont devenus plus complexes en ce qui concerne la géométrie des pièces, il a décidé d’acheter le logiciel QuickSurface et le module complémentaire Mesh2Surface pour SolidWorks.

 

Anton explique que Mesh2Surface combine “le meilleur d’un outil de rétro-ingénierie dans un environnement CAO solide”.

 

Il a décrit son flux de travail “scan-to-CAD” dans un article sur le site de Mesh2Surface, à propos de la restoration de voitures vintage.

 

 

 

L’utilisation de ce complément avec SolidWorks est pratique pour lui. SolidWorks est une solution très répandue dans son pays, les Pays-Bas, et il peut donc facilement échanger des fichiers CAO natifs avec ses clients. Pour les formes particulièrement complexes, il utilise QuickSurface.

 

QuickSurface est inclus dans l’offre de pack rétro-ingénierie de SHINING 3D, offrant un flux de travail fluide de la numérisation à la CAO.

 

Exemples de travaux réalisés par de Wit 3D Engineering

 

Anton a aimablement partagé avec nous quelques-uns de ses projets pour montrer le type de résultats que l’on peut obtenir en utilisant la numérisation 3D et les logiciels de CAO.

 

Par exemple, il a recréé le logo d’un vieux camion Peugeot. Datant plus ou moins des années 1930, le logo était cassé. Il a scanné la pièce originale et a pu la recréer à l’identique.

 

 

Il a utilisé le EinScan Pro 2X Plus et une table tournante pour ce projet, ainsi que pour un travail portant sur un moyeu d’une voiture de rallye Lancia HF Integrale :

 

Comparaison côte à côte des données scannées en 3D et du modèle CAO en 3D.
Comparaison côte à côte des données scannées en 3D et du modèle CAO en 3D.

 

En ce qui concerne les exemples provenant du EinScan HX, Anton a présenté cette boîte à air pour une moto tout-terrain. Il a scanné la moto en mode rapide puis imprimé en 3D les nouvelles pièces en TPU.

 

 

Pour voir d’autres exemples de rétroconception, vous pouvez visiter le site web de Wit 3D Engineering.

 

Conclusion : quelle est la rentabilité de la numérisation 3D ?

 

Après plusieurs années d’utilisation des mêmes outils, Anton de Wit avait besoin de fluidifier son flux de travail grâce à des solutions plus intuitives. Il a d’abord opté pour le EinScan Pro 2X Plus et, satisfait des résultats, a acheté un second scanner 3D SHINING, le EinScan HX hybride.

 

Il a atteint un retour sur investissement en moins d’un an pour le Pro 2X Plus, et en moins de deux ans pour le HX. Nous sommes impatients de découvrir d’autres projets de Wit 3D Engineering.

 

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